Business is business

Il y a dans le travail en chine une joyeuse mais certaine anarchie ambiante. Cela s’explique relativement simplement par le fait que ce pays a fonctionner en vase clos pendant 60ans, que ce pays a pousse jusque a un point extrême le collectivisme.

Aujourd’hui la chine est perçu par nos entreprises comme un vaste marche ouvert et en plus que développement. Apres une première approche souvent stérile, les entrepreneurs comprennent que la pénétration de ce monde se fera par l’établissement d’un partenariat, que le positionnement d’outil de production rentable passera forcement par une coopération gagnante et vibrante.

Aujourd’hui les sociétés qui ont les assises nécessaire, qui retiennent l’intérêt de nos grand business man sont plus que souvent les associations collectivistes d’ hier.

Aujourd’hui ces sociétés chinoises d’ampleur municipale, régionale, nationale ou même internationale ont évolue avec le seul marche chinois, selon leur propre modèle d’antan. Ces sociétés dont il est difficile de comprendre les historiques et les actifs sont souvent le fait d’un petit malin qui a racheter a un moment béni les moyens de productions publics d’un système aboutit et périclitant. Ces entrepreneurs chinois ont allie le coup de cul génial et la vision industrielle d’une chine en restructuration. Ces universitaires, ingénieur, autodidacte ont en une poigne d’années monte un empire industriel.

Aujourd’hui ces grands patrons sont les partenaires des boites internationales qui voient dans le marche chinoise la croissance de demain. Avec paillettes et sourire de circonstance les négociations entre les acteurs mondiaux et les patrons chinois aboutissent le plus souvent a la création de LA société a capitaux partager ou JOINT VENTURE…

L’étape magique post’ couronnement constitue dans le retour a la vie normale des négociateurs et autres dirigeants et la nomination d’un directeur général désormais en charge de véritablement demmerder le merdier !

Le plus marrant arrive donc exactement a ce moment précis, lorsque les expats gonfles d’expertise et de motivation débarquent dans le trou du cul la chine et se retrouve face a un mur d’incompréhension chinois : les interlocuteurs désignes par le partenaire pour développer ensemble ce nouveau business ont bien autre chose a foutre que se faire donner des leçons par un étranger qui de toutes façon ne comprendra jamais rien a la chine…

Ou comment régulation, plan qualité, communication et retour d’information se heurtent au bricolage, combinage et organisation chinoise !!

L’exemple du jour vaut sont pesant de riz cantonnais :

Notre partenaire chinois reçoit la commande de jolies installations censées tourner en Russie. Ce pays n’étant pas vraiment le paradis climatique pour faire fonctionner les dites machines, il se trouve qu’un sérieux problème se pose : les machines, faite en chine, ne vont tout simplement pas tenir le coup. Or le cahier des charges a été approuve, la commande enregistrée, seul le produit a délivrer est manquant. Réunions, brainstorming, Think Tank et je t’en remets une couche. Mais c’est bien sur : Y’a qu’ a acheter la machine chez le concurrent, l’a repeindre et y apposée notre marque.

BLAM !!

Business is business…